Le hacking éthique (White Hat) désigne des experts en cybersécurité engagés par des entreprises pour tester la sécurité de leurs systèmes. Leur rôle est d’identifier les vulnérabilités et de proposer des améliorations pour éviter les cyberattaques. Ils utilisent les mêmes techniques que les pirates malveillants (Black Hat), mais dans un cadre légal et contrôlé.

Grey Hat (Hacker opportuniste)

Ils naviguent entre le bien et le mal : ils détectent des failles sans autorisation, mais peuvent les signaler aux entreprises (parfois contre rémunération).
Leur action est illégale sans consentement préalable, même si leur intention n’est pas malveillante.
Exemple : Un hacker découvre une faille et demande de l’argent à l’entreprise pour la corriger (non éthique).

Black Hat (Hacker criminel)

Leur but est de voler, détruire ou extorquer des données à des fins personnelles ou financières.
Méthodes : Malwares, ransomwares, phishing, attaques DDoS, vol d’identités.
Ces hackers sont activement recherchés par les autorités et risquent de lourdes sanctions.